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Les rives des songes

Les rives des songes
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8 décembre 2014

Les P'tits riens

J’aime ces petits riens du quotidien qui nous font du bien J’aime ces petites choses qui préfèrent la belle rime à la prose J’aime ces petits trucs qui font de nous de petits archiducs aux belles perruques J’aime ces petites babioles Qui me pousse à la...
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8 décembre 2014

La valse de la modernité

celle des SDF, de ces pauvres sans abrisQui n’ont pas de toits pour se protégeret mis au banc par cette société perverti C’est la valse, la valse des petites gensde ceux qui triment tout le tempspour remplir les poches d’un certain patronatqui regardent...
8 décembre 2014

Mirage

Ma vie, vie n’est qu’un virageDans la ligne de mire, mire, mirageJe vois je vois je voyageSur la rive, rive du rivageEt je contemple mon imageDans ce verre à qui je rend hommageChaque jour dans le désert de ma solitudeCet ami qui vient me chercher par...
22 juin 2015

Histoire d’eau


Ses nuits
Elle veut les vivre désormais
Parcourir des sentiers
de plaines inhabités
S’immoler dans le brasier
D’un baiser passionné
Avec l’homme de ses pensées
Elle veut ouvrir ses tiroirs secrets
désormais scellés
en raison de séquelles passées
d’une cruelle parodie enfumée
d’une cruelle parodie de la vie
Elle veut fuir ses insomnies
rallumer des incendies
d’émotions censurés
vivre l’éphémère
fuir sa réalité, son désert

Sa nuit
Elle rêve d’une vie meilleur
Sans cris, sans peines  sans pleurs
Où l’amour est une exaltation
et le quotidien une déraison
Son âme vole au dessus des nuages
sa vision est un mirage
Elle veut tourner la page
Et vivre sans partage
Un amour sans ombrage
anthropophage
Elle ne connait encore le visage
De l’homme qui sur la plage
Lui prendra la main
au petit matin
Qui l’étendra sur le sable fin
Et la couvrira de tendres câlins


La nuit
Elle recherche l’innocence
Une Avalanche d’effervescence
elle se nourrit d’espérance
de paroles éphémères
elle cherche son légendaire
elle n’en a que faire des commentaires
elle veut changer son ordinaire
partager une amitié sincère
Elle a besoin de réconfort
Changer son sort
Elle veut d’un amour si fort
Que seul la mort
tirera un trait
Elle si est affamé
Qu’une dernière fois elle veut valser
Qu’une dernière fois sous la lune embrumée
d’une nuit étoilée
revoir l’aurore
Jouer avec  la mort
Pour l’éternité
dans l’équinoxe
sans paradoxe


Refrain :
La nuit elle respire, et elle veut plaire
La nuit elle aspire, elle cherche son contraire
Ses nuits, elle désire, elle espère
Ses nuits, elle rêve de sensualités et de mystères
Sa nuit elle la vibre, finis les commentaires
Sa nuit, elle frissonne, elle vole et elle se libère

22 juin 2015

Azur

Azur, entre ciel et mer
Amour, débonnaire
Une étoile dans le firmament
Apaise mes tourments
Diriges moi vers l’Eternel
Illumine mes ténèbres sempiternelles.
Fais de moi l’amant de tes folles nuits
Pâmoison de ma raison, Homme je suis,
Fais de moi l’esclave de tes amours interdits
Etre d’appréhension, Homme je suis.

Blanc, entre neige et nuage
Beauté, sans ambage
Claire et cristalline
Elle est une perle immaculée
Une grâce malicieuse et mutine
Le joyau d’une âme de pureté.
Fais de moi l’écrin d’un amour infini
Exaltation et adulation, Homme je suis
Fais de moi l’histoire de ta vie
Dévotion de ma passion , Homme je suis

Rouge, entre sang et chair
Calice, je bois ton sourire incendiaire
Tes lèvres enflammées et pourprés
Je péris sur le bucher des damnés
Dévores moi, emmène moi en enfer
Enchaines moi, mets moi les fers.
Fais de moi le supplicié de tes émois proscrit
Liberté ou prison, Homme je suis,
Fais de moi le roi des scélérats
Ecumeur des mers, Homme je suis,

Dans tes bras je veux perdre haleine
J’aimerais que tu sois mienne
Jouons de multiples scènes
Je veux boire l’eau de la fontaine
Chantons Eluard et Verlaine
Dansons sur les quai de Seine
Quand je la vois je n’ai plus froid
Son sourire chasse mes tourments et mes tracas
Dans ses yeux il y a le printemps qui sourit
Soyez mon érégie, Homme je suis

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22 juin 2015

Sur la toile

Sur la toile, j’y ai rencontré une étoile.
Elle brille, elle scintille
malgré les vissicitudes,
malgré les incertitudes
elle erre
âme émue,
un peu perdue,
éperdue dans une fragilité contenue,
fondue
dans un espoir bercé par un calme alconyen
à portée de main.
Vénus, toi qui guide les pêcheurs!
Oh Vénus,
Vénus, toi qui gouverne les coeurs!
Elle cherche ses amours, son héros.
Celui qui la consolera de ces maux.
Celui qui la rassurera par ces mots.
Elle cherche son contraire,
son légendaire,
Celui qui se perdra dans l’azur de ses yeux,
Celui qui la couvrira de baiser fougueux,
salés, sucrés, désirés,
tendres et affectueux,
sensuels et langoureux.
Celui qui l’aimera tout simplement.
Elle rêve d’intimes et fugaces instants,
Où elle serait polissonne,
friponne et sauvageonne,
Dans les bras d’un garçon.
Elle veut jouer une partition,
Où leurs corps danseront,
une symphonie fantastique,
héroïque,frénétique,
acrobatique, érotique.
Où elle rêve d’être gamine
et sauter à l’élastique,
Ecrire des je t’aime à l’encre sympathque;
Elle est vivante
Et elle y croit encore
Insouciante, innocente,
Une espérance
Elle croit encore
à cet amour
Sans l’ombre d’un détours,
Un amour sincère,
Pas de ses fruits amères,
Un amour véritable,
incommensurable.
Elle rêve tout simplement
d’être dans les bras d’un homme
Qui la prendra par la main
Qui le matin la couvrira d’un drap
pour qu’elle n’ait plus froid!



Sur la toile, j’y ai croisé ue étoile
elle pétille, elle scintille
A son regard, je hisse la grande voile
Je me perds dans la pupille de ses yeux
si intense et lumineux.
quand je la vois mon coeur défaille
J’ai l’âme qui déraille
Sur la toile, j’y ai croisé ue étoile
Elle m’a dégommé, elle m’a flingué
Cette poupée elle m’a pas loupé.
Toute la journée, elle est dans mes pensées
Sa p’tite frimousse, sur ma chaise j’me trémousse
J’en ai perdu la raison, j’sais même plus mon nom
Sur la toile, j’y ai retrouvé un bonheur passé
Une jeune frangine a raminé des souvenirs intimes
Perdues au fin fond d’histoire révolue
Pas besoin de long discour
Son sourire m’a mis à mort sans détours.
En ravivant les flammes de l’amour
Elle ne se doute pas de tout l’émoi
qui émane de moi quand je la vois.
L’art est sa passion, sa jeunesse une émotion
J’en perd mon latin et ma raison.
Sans explication, aucune réflection
Bilevesés et carabistouilles
J’ai la tête qui s’embrouille
J’ai les neurones en ébulliton
sans explication
c’est la dérive des continents
un tsunami de sentiment
Je r’viens un gamin émerveillé devant le sapin.
Je voudrais lui plaire,
J’ai parcourus des océans et des rivières
Et c’est dans la toile, que je hisse la grand voile
Et c’est dans la toile que j’y ai croisé mon étoile.



22 juin 2015

Je n’ai rien vu passé

Je n’ai rien vu passé
Des blessures,une vérité
Un peu d’amertume, un peu de douceur
Quelques bonheur beaucoup de pleurs
Qu’est ce donc ais-je fais?
Rien! si ce n’est que passer!

Mon futur résonne comme un lendemain
Je regardent mes mains
J’observe les sillons
de plus en plus profonds
les stigmates d’une vie éphémère
substance vélléitaire

Et dans la bouche ce gout salé des devoirs
La tête dans le brouillard
L’arrêt définitif à la prochaine gare
Où l’on regarde défiler les trains
Ses rêves américains
Se fiévreux espoirs à jamais éteins

Dans mes tiroirs, un linge si bien repassé
Tout est si bien rangé, tout est étagé
quelques accros, quelques vestes rapiécées
On se joue encore quelques histoires passées
On vit comme des cons, dans la grisaille
Pas une fictions, mais une réalité d’épouvantail

La vie n’est qu’une sale putain
Maqué aux pervers rêves sans lendemain
On s’fait un film de notre quotidien
Et la fin est toujours la même au bout d’chemin
Entre quatre planches, nourrissant les vers c’est certains
Nous bâtissons pour êttre oublié demain

On se lève comme chaque matin, on sert à rien
On se meurs, on bouffe la poussière
Un tombeau, sous la chaleur d’un réverbère
Puisé dans la source d’une pissotière,
Elle viendra, sadique, lubrique par derrière
Pour te prendre et te planter dans un cimetière

Et pourtant j’ai baisé, j’ai forniqué, j’ai aimé
Dans des eaux troublés, à double visée
J’me suis soulé, déssoulé, déssoudé, désinvertébrés
J’ai fumé, pas que du fumet, des calumets
De pets et pas de paix, pas toujours de qualité
Assiduité, décalé, il est trop tard pour recommencer

Et j’observe, je veille, j’attends
Un patient, impatient

22 juin 2015

Au petit matin

Des remords, j’en ai disposé
Des illusions j’en ai payé
Les regrets sont enterré
Disloqués, j’ai tout oublié
Ton corps je l’ai longé
épousé, caresser
aimer, posséder
Et j’ai someillé
Rien que des souvenirs embaumés
On s’est trompé
Le jeu était truqué
Les dés pipés
Et pourtant
On s’est aimé
sous les réverbères
On a fait l’amour
dans des cimetierres
a l’ombre des fougères

J’ai dessiné et redessiné
des lignes et des courbes d’erreurs
J’ai crayonnés et recrayonnés
des journées de malheurs
Et j’ai pleuré
des océans de colère
Quand tu t’es barré
Et je me meurt de t’aimer
Je ne cesse de chialer

On a transpiré
On a sué
Nos corps dans des position censurés
Mais tout à merder
On s’est enflammé
Dans des incendies endiablé
On s’est crashé
Dans une brutale réalité
Des cones glacés
on en a dévoré
sur ces plages d’été
où main dans la main on se tenait
Des valses on en a dansé
A en perdre haleine sur les parquets
des ces bals du 14 juillet
J’arrivais même plus à respirer
Et tu t’es détourné
Les roses se sont fanés

J’ai dessiné et redessiné
des lignes et des courbes d’erreurs
J’ai crayonnés et recrayonnés
des journées de malheurs
Et j’ai pleuré
des océans de colère
Quand tu t’es barré
Et je me meurt de t’aimer
Je ne cesse de chialer


J’ai cherché à te plaire
à te distraire
Et j’ai vogué
Sur ces eaux salées
Mon coeur a cessé
de t’aimer
je me suis sacrifié
sur un autel débauché
Mes nuits je les ai passées
Avec des fantomes sexués
Mes nuits je les ai dévorés
dans les bras de sirenes sublimées
Et j’ai baisé dans des songes fantasmés
Ces femmes que je ne pouvais possédés
Et je fut laminé, lapidé, démémbré
Le navire a coulé
Et pourtant j’était à tes pieds
Et tu t’es détourné

J’ai dessiné et redessiné
des lignes et des courbes d’erreurs
J’ai crayonnés et recrayonnés
des journées de malheurs
Et j’ai pleuré
des océans de colère
Quand tu t’es barré
Et je me meurt de t’aimer
Je ne cesse de chialer

22 juin 2015

J’ai regardé les trains arrivés

Tu t’es barré
me laissant sur le quai
j’ai regardé les trains arrivés
sans comprendre ce qui c’est passé
t’es parti dare dare
T’as pris ton sac et ton fard
Pas un sourire ni un regard
Mais un teint blafard
J’me suis retrouvé comme un toquard
sur cet immense quai de gare
Tu t’es évaporé dans cette foule anonyme
Comme si tu fuyais une scène de crime
Pas de nostalgie, ni de mélancolie
Malgré cette nuit d’euphorie
où nos corps se sont unis
dans un rythme éffréné
où j’ai gouté les profondeurs de ton intimité
où j’ai bu les essences embaumés
de ta peau humidifié
par tes ardeurs empressés
Tu t’es donné jusqu’à te damner
Tu t’es ouverte jusqu’à la volupté
Et sans retenue tu t’es accaparé
Ma virilté avec voracité
Pendant que je butinais
Ce verger fleuris à la rosée
Et au petit matin
Avec cet air mutin
Dans une cabriole de lutin
Sans peau de chagrin
Sans un mot tu t’es levé
Tu t’es tremoussé
pour allé te doucher
Toujours bien cambrés
Ton intimité me souriait
Je t’es maté
De la tête au pied
Les yeux fixés
Sur ce sublime fessier
J’en avais ma masculinité retourné
J’me suis pas douté
Quand tu t’es habillés
Que t’allais me larguer
Tu m’as embrassé
on est descendu dans la rue
rejoindre les paradis perdus
Et on s’est retrouvé sur ce quai
tu m’as fait un pied de nez
T’as mis un billet
Dans la poche de mon gilet
Tu t’es barré
me laissant sur le quai
j’ai regardé les trains arrivés
sans comprendre ce qui c’est passé
Une nuit tu fus mienne
A en perdre haleine
Il n’y a plus que des peines
qui coulent dans mes veines
et chaque semaine chaque jour
à cette folle nuit d’amour

22 juin 2015

Comme nous

Pourrions nous vivre à deux
J’y crois, il suffit de rien
Une envie de faire l’amour
pas de long discours
Mais juste donner le jour
à  notre amour
Comme nous
Aujourd’hui et demain
Est-ce certain
Dormir ensemble
Se réveiller le matin
Observer les étoiles
Etre heureux à deux
Ecrire une nouvelle histoire
Il suffit d’y croire
Il suffit de peu,
d’un rien
pour faire un bout de chemin
Une envie de faire l’amour
pas de long discours
Mais juste donner le jour
à  notre amour
comme nous
On s’est trencontré par hasard
Le détour d’un regard
C’est comme ça
J’aime te regarder de dos
Je ne trouve pas les mots
Fermons les yeux
Jouons la ballade des gens heureux
J’aimerais te prendre par la main
Embrasses moi, allez viens
Une envie de faire l’amour
pas de long discours
Mais juste donner le jour
à  notre amour
Comme nous
Je ne sais que faire
Je ne sais que dire
Pour que tu comprennes
Que je t’aime



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